A la rencontre de Virginie Courtin Clarins

Hello !

Après une très longue absence de ce blog, je reviens avec un article un peu différent des autres. Pas de recette, de thé ou de joaillerie, mais le compte rendu d’une jolie rencontre professionnelle qui a eu lieu la semaine dernière à Moda Domani Institute, mon école. Toutes les semaines, nous accueillons un professionnel de la mode, du luxe ou du design afin de le questionner sur son parcours, son métier et sa vision du luxe. Lors des dernières semaines j’ai eu quelques coups de coeur : tout d’abord une incroyable designer d’intèrieur, Stéphanie Langard Dumont, puis le directeur de la communication de la marque de chaussures J.M. Weston, Cédric Dauch. Mais aujourd’hui je vais vous parler d’une femme au talent inné, qui est en train de relancer la marque de mode française Thierry Mugler, rebaptisée Mugler Paris depuis quelques temps, suite au départ de Mr Mugler en 2003. Voici Virginie Courtin Clarins.

Escapade à l’Imagynarium

‘Acheter du luxe n’est pas choquant, c’est un vecteur de différenciation’ tel est le credo de la génération Y.

Mercredi 12 septembre, cour bleue du BHV Marais Homme, Eric Brionnes a.k.a. Darkplanneur nous présente le nouveau livre La Génération Y et le Luxe dont il est co-auteur. Ambiance festive à l’arrivée avec bar à gaufres, studio 3D, tatoueur éphémère et dj. Bienvenue dans l’imagYnarium, un voyage à travers les différents luxe Y.

Sassy

Doux, brut, rosé, on connait tous la boisson préférée des bretons. Mais en dehors de la crêperie, difficile de proposer un petit bol de cidre à ses amis. Ringarde, pas assez alcoolisée ; faites le test et vous verrez que les couche-tard refusent la bolée. Enfin, les couche-tôt aussi. Désolée Loïc Raison, tu peux rentrer à la maison.

En revanche, si on vous tend cette bouteille, pas sûr que vous refusiez de la goûter.

Happy Happening

Vendredi soir au carreau du temple : vernissage du Happy Happening 2014 qui a lieu ce week-end. Dégustations de toutes sortes, ateliers maquillage, coiffure et manucure occupent le grand espace de cet ancien marché parisien dans une ambiance festive et plutôt féminine. D’un côté avec comme titre Fabrique à Héroïne, le contraire aurait été étonnant.